Dans le détail, le déficit s’élève à 76,1 milliards d’euros, en forte croissance de 8,4 milliards par rapport à l’année d’avant, où il était tombé à un plus bas depuis 2008, à 67,7 milliards d’euros. Reparti à la hausse, ce chiffre marque néanmoins une petite victoire pour les services de l’État, dans la mesure où il reste nettement en deçà des prévisions pour l’année. La loi de finances initiale pour 2018 prévoyait un déficit à 85,7 milliards d’euros, et la loi de finances rectificative de fin d’année l’établissait à 80 milliards…
Cela est dû à une baisse des charges de 400 millions et une hausse des rentrées fiscale de 2,1 milliards.