Selon le think tank libéral, ces droits de succession ne doivent pas être considérés comme un outil de redistribution des richesses. Cet impôt ne contribue que très peu aux richesses du pays : avec 12,7 milliards d’euros en 2017, les droits de succession représentent 0,61 % de la richesse française. Il devient aussi, au fil des ans, une rareté puisque, selon l’Ifrap, 15 des 35 pays de l’OCDE ont au final décidé de supprimer l’impôt sur les successions depuis l’année 2000.