Une étude de la Banque de France souligne le recul du nombre de ménages en situation de surendettement sur le territoire. Pour autant, l’institution identifie un noyau dur constitué d’individus particulièrement fragiles et de plus en plus précaires.
Autre point positif, l’encours de la dette globale des ménages surendettés reste massif, à 6,5 milliards d’euros, mais baisse de 8,8% sur un an et de 20% par rapport à 2014. Les dettes à la consommation représentent près de 38% de ce total, tandis que les dettes immobilières sont légèrement moins importantes, de l’ordre de 35%.