Dans les quatre mois à venir, les régulateurs du Mécanisme de surveillance unique (MSU) vont simuler « d’hypothétiques chocs négatifs et extrêmes confrontant les banques à des retraits croissants de liquidités » afin de déterminer pour chacune d’entre elles leur « période de survie » sans appel aux marchés.
« L’exercice se concentrera sur les perspectives de flux de liquidités à court terme afin de calculer la ‘période de survie’, c’est-à-dire le nombre de jours pendant lesquels une banque pourra rester opérationnelle en ayant recours à sa trésorerie et à ses actifs collatéraux disponibles, sans accès au financement sur les marchés », écrit la banque centrale.