L’Arabie saoudite, le Panama et le Nigeria, entre autres, ont été ajoutés sur la liste noire de la Commission européenne ciblant les pays dont les dispositifs de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme sont jugés insuffisants.
Outre le préjudice en termes d’image, l’inscription sur ce registre contraint les banques et les instances soumises aux règles de l’Union européenne (UE) à procéder à des contrôles renforcés des opérations financières impliquant des pays qui y sont inscrits, ce qui complique les transactions avec les Vingt-Huit.