Au Canada, malgré une accélération de la croissance du PIB au deuxième trimestre de 3,7 %, qui « a dépassé les attentes », la Banque « s’attend à ce que l’activité économique ralentisse pendant la deuxième moitié de l’année ».
D’abord parce que la relance plus rapide que prévu de l’immobilier « pourrait accroître les niveaux d’endettement déjà élevés des ménages », mais aussi car « les dépenses de consommation ont affiché une faiblesse inattendue » bien que « les salaires ont encore augmenté ».