En 2013, un technicien avait été victime d’une crise cardiaque lors d’un rapport sexuel au cours d’un déplacement professionnel. Son décès est désormais considéré comme un accident du travail. D’après la décision, un salarié a droit à la protection prévue par la Sécurité sociale « pendant tout le temps de la mission qu’il accomplit pour son employeur, peu important que l’accident survienne à l’occasion d’un acte professionnel ou d’un acte de la vie courante » – catégorie dans laquelle se range un rapport sexuel, souligne-t-elle.