L’autorité a lancé le mois dernier une consultation auprès des parties prenantes (banques, courtiers, promoteurs, consommateurs…), qui avaient jusqu’à ce lundi pour donner leurs avis. Signe de la complexité du sujet, le délai a été prolongé de quelques jours. Quelques pistes semblent se dégager.
Le taux d’effort correspond à la part des revenus consacrés au remboursement de l’emprunt et aux charges qui y sont liées. Fin 2018, il s’établissait en moyenne à un peu plus de 30 %, selon des données de la Banque de France. Et s’il reste globalement inférieur au niveau de 2009, dans un nouveau crédit sur quatre, il dépasse 35 %. Il faudrait peut-être le limiter…
Il faudrait également freiner les rachats de crédit, surtout qu’actuellement il est plafonné à 6 mois d’intérêts.
Il faudrait également relever le taux d’usure et mettre un taux plancher pour les prêts.