Nikolaus Meyer-Landrut souligne qu’il n’y pas de débat à ce sujet outre-Rhin. « L’Allemagne a au niveau national une règle d’endettement beaucoup plus sévère (…). Je comprends la nécessité de réfléchir dans les investissements d’avenir, je comprends qu’il faut qu’on soit capable d’être à la hauteur dans les défis digitaux (…). Après, chaque budget est un choix dans lequel il faut mettre l’argent sur les priorités. Et ça permet de réaliser ces priorités à l’intérieur d’un cadre. »