« Les participants trouvent […] que les preuves que les taux négatifs à l’étranger ont un effet bénéfique sont ambivalentes », dit le compte-rendu de cette réunion.
La question des taux négatifs n’a pas été spécialement d’actualité pour l’économie américaine alors que l’activité affiche encore une croissance de 1,9 % en rythme annuel au troisième trimestre. Ils soulignent aussi que des taux négatifs « présentent le risque d’introduire des distorsions dans le système financier » américain qui « est considérablement différent de celui des pays qui pratiquent les taux négatifs ». Le Comité n’exclut pas toutefois de reconsidérer un jour cet outil de taux négatifs « si les circonstances l’exigent », en cas de récession notamment.