Immobilier: les étrangers non-résidents sont relativement moins présents en France

Sachez ainsi que la part de ces derniers fond comme neige au soleil: entre 2008 et 2018, elle est passée de 2,5% à 1,7%, selon la dernière note de conjoncture publiée par les notaires de France. Ce qui équivaut à un peu plus de 16.700 transactions réalisées par des étrangers non-résidents en 2008 et à 16.500 en 2018. Une stabilité en nombre mais un ratio en baisse au vu du fort volume d’activité. Un bien faible volume au regard des 965.000 ventes réalisées en 2018. Comme souvent, cette moyenne cache d’importantes disparités: elle varie de 0,9% en Ile-de-France à 5,5% en Provence-Alpes-Côte d’Azur et en Corse.
Cependant, Paris reste prisée par les très riches. Il s’agit des HWNI (plus de 30 millions de dollars net et hors habitation principale) qui propulsent le segment de l’immobilier haut de gamme vers des sommets dans toutes les villes qui les intéressent. Cette année, c’est Paris qui tient la corde: la capitale française gagne quatre places, et devient « première destination » recherchée par la clientèle des UHNWI, selon le réseau international d’agences immobilières Barnes. Le marché est soutenu par la perspective des Jeux Olympiques de 2024 et des taux d’intérêt minimes (https://www.challenges.fr/immobilier/immobilier-luxe-pourquoi-les-tres-riches-du-monde-entier-veulent-acheter-un-logement-a-paris_695243).

https://immobilier.lefigaro.fr/article/immobilier-les-etrangers-non-residents-sont-moins-presents-en-france_15b769ce-3c37-11ea-9104-1acaf8fdfa7c/

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