4.600 épargnants accusaient la première banque française de leur avoir dissimulé un risque financier « inouï » derrière des prêts libellés en francs suisses mais remboursables en euros, commercialisés entre 2008 et 2009. Les sommes dues par BNP Paribas, avec des dommages et intérêts différents selon les emprunteurs, se chiffrent en dizaines de millions d’euros.