Le cas de San Francisco, qui montre des similarités avec Paris, montre que la mise en place d’un encadrement des loyers en 1994 a certes permis à la majorité des locataires concernés de rester à San Francisco (selon les groupes étudiés, ils se sont dits 10 % à 20 % plus susceptibles de continuer à habiter le même logement), mais les propriétaires n’ont eu de cesse de se soustraire à cela et d’évincer les locataires…