Les assureurs sont moins impactés par la crise du coronavirus que d’autres secteurs d’activité. Mais on les presse de prendre position sur la couverture des nouveaux risques sanitaires.
« Axa est prêt à prendre l’initiative pour travailler avec l’État français et d’autres États européens », a-t-il assuré. Ce nouveau régime serait « inspiré de celui qui existe déjà pour les catastrophes naturelles » et « pourrait appartenir à 50 % à l’État et à 50 % à un pool d’assureurs privés ». « On encaisserait chaque année des primes qui seraient mises en réserve. En cas de crise, les assureurs paieraient jusqu’à deux à trois fois le montant des primes, l’État prenant le relais au-delà », a suggéré M. Buberl.