À partir du 1er mai, la plupart des personnes en arrêt de travail pour garde d’enfants ou parce que vulnérables – susceptibles de développer des formes graves de la maladie – basculeront en chômage partiel. « Cette mesure permet d’éviter une réduction de l’indemnisation des personnes concernées: sans cette mesure, le niveau d’indemnisation des salariés aurait diminué pour atteindre 66 % du salaire après 30 jours d’arrêt pour les salariés justifiant d’une ancienneté inférieure à 5 ans, par exemple », fait valoir le ministère du Travail.