L’objectif est de permettre à la France de retrouver d’ici à fin 2022 le niveau de PIB de fin 2019 afin d’effacer l’impact de la crise sanitaire et de créer les emplois de demain notamment dans l’économie verte. S’il n’y aura pas de conditionnalité aux aides, le pouvoir espère des « contreparties » appelant les entreprises à jouer le jeu.
Investis entre fin 2020 et fin 2022, ces 100 milliards d’euros qui seront inscrits dans le projet de loi de finances pour 2021 représentent l’équivalent de 4 points de PIB, soit quatre fois le plan de relance de 2008 et, sera, selon le Premier ministre, « le plan plus massif annoncé à ce jour parmi les grands pays européens ».
