En octobre, les ventes de logements anciens ont atteint leur plus haut niveau depuis début 2006. Mais l’amenuisement du stock de biens disponibles à la vente a aussi provoqué une importante hausse des prix.
Pour faire face à la crise économique provoquée par la pandémie de Covid-19, la Banque centrale américaine a abaissé en mars ses taux d’intérêt quasiment à 0. « Ceci a donné un gros coup de pouce aux achats immobiliers pour les gens qui ont gardé leur emploi, qui peuvent travailler de la maison, qui n’ont plus besoin de se rendre au bureau », constate Dana Scanlon.
De plus, les ménages aisés ont pu « ironiquement » épargner depuis le début de la pandémie, ajoute-t-elle. Avec moins de dépenses consacrées aux voyages, aux sorties culturelles ou aux restaurants, ils ont finalement pu viser des biens plus grands et plus chers.
