indice du London Metal Exchange (LME), qui comprend le cuivre, l’étain, le plomb, le nickel… est remonté à son plus haut niveau depuis dix ans, porté à la fois par le redémarrage de l’économie chinoise, qui engloutit la moitié des matières premières dans le monde, les plans de relance et le verdissement de l’économie qui fait la part belle à l’électrique. La consommation de métaux en sortie de crise se révèle plus importante que prévu et dépasse l’offre mondiale.
