La France serait donc d’accord pour durcir sa position puisqu’elle évoquait encore récemment un taux d’imposition de seulement 12,5%. Mais, a justifié en termes crus le ministre français de l’Économie Bruno Le Maire à l’hebdomadaire allemand Die Zeit, « les gens en ont marre que les grandes entreprises ne paient pas leur juste part de l’impôt ». Son homologue allemand Olaf Scholz a déclaré de son côté qu’il n’avait « rien personnellement » contre ce projet.
La France avait récemment évoqué un taux d’imposition de 12,5%, a-t-il rappelé. Mais si le taux de 21% suggéré par Washington « était le résultat de négociations, nous serions d’accord », a-t-il ajouté.
