Un ordinateur quantique ne repose pas sur des uns et des zéros, mais sur un nombre beaucoup plus grand de variables, ce qui, toujours en théorie, le rend infiniment puissant.
« D’ici trois à dix ans, l’impact industriel et économique du quantique sera au moins aussi important que l’intelligence artificielle l’a été ces dernières années », lance d’entrée de jeu Jean-François Barsoum, directeur principal de l’innovation pour IBM. « Nous en sommes en ce moment au même stade que l’était l’IA en 2012, quand elle sortait du stade de la recherche universitaire et s’approchait d’une adoption commerciale plus répandue. »
