Le marché immobilier britannique a perdu de sa splendeur. Après vingt années de croissance, tout juste troublée par la crise financière de 2008, les prix se stabilisent au Royaume-Uni. Mieux, ils reculent à Londres, de 4 % en moyenne sur un an, selon Nationwide. Avec une livre qui a perdu 20 % face à l’euro en trois ans, le temps des opportunités est peut-être venu. Mais Londres reste un marché difficile et concurrentiel.
Outre le fait qu’il existe des micro-quartiers, tout dépend également du type du bien immobilier. « Il est apparu que les maisons familiales de 3-4 chambres ont plus souffert que les appartements de 1-2 chambres de moins d’un million de livres qui restent toujours très recherchés », précise Ségolène Chambon.