Les discussions sont subordonnées au prix et aux termes de l’accord et ne déboucheront pas nécessairement sur une vente, a déclaré la source. Reuters avait rapporté en septembre dernier que Cerberus et une autre société d’investissement restaient les seuls candidats en lice pour cette activité après la défection de banques françaises.
La reprise de l’activité en France pourrait se faire à un prix symbolique avec une recapitalisation par HSBC d’au moins 500 millions d’euros, nécessaires pour financer sa restructuration, avait précisé les sources en septembre.