L’avocat Frédéric Peltier plaide, dans une tribune au « Monde », pour l’annulation multilatérale de la dette contractée pour affronter la pandémie, à travers l’organisation d’un nouveau Bretton Woods, espérant que le droit international prendra l’ascendant sur les marchés financiers.
Il faut être réaliste, qu’elle soit baptisée ou non « coronabonds », cette dette n’a aucune valeur, car l’argent qu’elle représente ne produit rien.