Les frais fondent aux États-Unis

En 2018, les investisseurs américains ont dépensé une moyenne de frais de 0,48 %, soit une baisse de 6 % comparativement au 0,51 % dépensé en 2017, indique une étude de Morningstar. Cela représente une dépense de 48 $ pour chaque tranche de 10 000 $ investie.

https://www.conseiller.ca/nouvelles/industrie/les-frais-fondent-aux-etats-unis/

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Les prix de ventes des biens visibles en réalité augmentée

Profitant de l’ouverture de l’accès aux données relatives à toutes les transactions immobilières depuis 5 ans, MeilleursAgents dévoile une nouvelle application en réalité augmentée permettant aux utilisateurs d’accéder au prix moyen du m² à chaque adresse et de découvrir le prix des ventes réalisées.

https://www.immomatin.com/articles/sites-d-evaluation/les-prix-des-ventes-immobilieres-visibles-en-realite-augmentee.htm

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Les « ados », terre de conquête des fintech et banques en ligne

Les offres de néobanques dédiées aux adolescents fleurissent. Peu ciblée par les banques traditionnelles, cette population constitue un marché bancaire de niche qui a vocation à grandir rapidement.
« Comme les adultes, les adolescents veulent consommer sur Internet, mais ils ont encore peu d’outils pour le faire. Les adultes, de leur côté, ont aussi moins de cash sous la main pour donner de l’argent de poche à leurs enfants… », pointe Benoit Grassin, l’un des fondateurs de la fintech Pixpay.
Son principe ? Offrir une application bancaire et une carte à autorisation systématique – qui ne permet aucun découvert – pour 2,99 euros par mois aux 10-18 ans. Alimenté par la carte bancaire de parents ou de proches, ce compte doit permettre de payer en magasin comme en ligne et de faire quelques retraits aux distributeurs. Les dépenses pourront aussi être scrutées de près, voir limitées, grâce à une application miroir installée sur le smartphone… des parents.

https://www.lesechos.fr/finance-marches/banque-assurances/les-ados-terre-de-conquete-des-fintechs-et-banques-en-ligne-1015448

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Transformer le corps humain en compost, une alternative aux funérailles classiques

Interdite par la loi chez nous, cette forme alternative de funérailles dite du compost humain, de recomposition ou d’humusation, va devenir légale dans l’État de Washington où le gouverneur Jay Inslee vient de signer un texte de loi.
Concrètement, les cadavres seraient déposés hors sol et recouverts de copeaux de bois sur des terrains réservés où des « humusateurs » professionnels s’occuperaient de chacun des « petits talus ». Mais la décomposition d’un corps humain produit-elle un humus de bonne qualité ? « Il fait un excellent terreau. Le corps remplace le fumier pour la part azotée. Si l’on évite la viande dans nos composteurs domestiques, c’est par peur des prédateurs », assure Robert Morez, en technicien décomplexé.

http://www.leparisien.fr/environnement/le-compost-humain-une-alternative-ecologique-aux-funerailles-classiques-29-04-2019-8062881.php

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CETA : accord de la justice européenne pour le mécanisme d’arbitrage

Dans un jugement très attendu, la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) a donné son feu vert au chapitre le plus controversé de l’accord, qui instaure un système juridictionnel des investissements
(Investment Court System, ICS). Ce mécanisme permet à une entreprise d’attaquer un État devant un tribunal arbitral d’exception si elle estime qu’une décision politique a violé les règles du traité et lésé ses intérêts économiques.
Dans sa décision rendue mardi, la CJUE balaie les craintes d’une justice d’exception qui porterait atteinte au droit européen. Selon elle, des garanties suffisantes ont été introduites pour éviter qu’une sentence arbitrale rendue par l’ICS ne remette en cause les choix démocratiques des États. La Cour a également confiance dans « l’indépendance » des quinze futurs juges-arbitres, des juristes qui seront nommés pour des mandats de cinq à dix ans par le Canada et les États européens, avec des mécanismes censés prévenir les conflits d’intérêts.

http://transatlantique.blog.lemonde.fr/2019/04/30/ceta-feu-vert-de-la-justice-europeenne-pour-le-mecanisme-darbitrage/

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La non constructibilité, moteur des bulles foncières ?

Les travaux de l’économiste et spécialiste du logement Vincent Bénard donnent une réponse convaincante en la matière. Si bulle il y a, elle est avant tout foncière. En effet, comme il l’explique régulièrement, l’observation de la bulle américaine permet de montrer que la rareté foncière créée artificiellement par des réglementations explique l’envolée des prix dans les villes américaines où elle a été pratiquée. Il explique dans un article que « les trois mégapoles ayant connu de loin la plus forte croissance démographique [Houston, Atlanta et Dallas, 6 millions d’habitants chacune, un quasi-doublement en trente ans] n’ont absolument pas ressenti de bulle immobilière, au contraire de villes comme San Francisco ou Los Angeles ».
En France, les travaux de l’économiste de l’immobilier Joseph Comby indiquent que l’essentiel de la hausse des prix du logement est dû à l’explosion du prix du foncier à bâtir. Nous pratiquons en France la règle du « non constructible » par défaut…

https://www.lepoint.fr/debats/tribune-immobilier-enrayons-cette-bulle-malthusienne-29-04-2019-2309999_2.php

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Supprimons l’âge légal de départ à la retraite ?

D’après cet article, l’âge légal de départ à la retraite est aujourd’hui arbitraire et injuste. Il serait arbitraire parce qu’il fait complètement l’impasse sur le besoin de flexibilité des carrières et des vies. Il est injuste parce qu’il ne donne pas de réponse satisfaisante aux situations des plus défavorisés.
Un âge butoir est contre-productif, d’autant plus qu’il rend l’attractivité des seniors problématique : pourquoi embaucher ou promouvoir quelqu’un dont on sait qu’il sera parti dans quelques mois ? En revanche, un âge minimal est sans doute utile pour responsabiliser les actifs et éviter qu’ils opèrent trop tôt des prélèvements de leur compte retraite.
Un moyen de tenir compte de la pénibilité des carrières d’ouvriers serait d’ajuster le montant de la retraite en fonction précisément de l’espérance de vie : la retraite d’un ouvrier serait ainsi augmentée par rapport aux retraites de cadres supérieurs d’un facteur calculé en garantissant le même taux de rendement interne sur l’ensemble de la vie, dont le terme sera estimé par l’espérance de vie de la catégorie professionnelle.

https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/supprimons-lage-legal-de-depart-a-la-retraite-1014706

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Québec : vers un ménage des droits et obligations des époux et conjoints

Faut-il mieux protéger juridiquement les personnes en union de fait ? Le partage obligé du patrimoine familial pour les couples mariés est-il toujours pertinent ? Telles sont quelques-unes des questions qui seront abordées au cours d’une série de consultations publiques qui commencent aujourd’hui.
Ceci provient de la nécessité de réarticuler le droit familial autour de l’enfant. D’une part, parce que c’est l’enfant qui est le point de départ de la famille et celui dont les droits doivent être priorisés. D’autre part, parce que, de nos jours, ce n’est pas le mariage ou le fait d’être conjoint de fait qui crée une interdépendance entre les conjoints, mais bien la naissance d’un enfant. D’où l’idée lancée dans votre rapport de créer une « prestation compensatoire parentale » qu’un parent pourrait devoir payer à l’autre pour le compenser du désavantage que le rôle parental assumé durant la vie commune lui aura occasionné.

https://www.lapresse.ca/actualites/justice-et-faits-divers/201904/28/01-5223879-vers-un-menage-des-droits-et-obligations-des-epoux-et-conjoints.php

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Prélèvements sociaux et non résidents: le Conseil d’État déboute une nouvelle fois l’administration

Le Conseil d’État indique clairement que: « le principe d’unicité de législation posé par l’article 11 du règlement du 29 avril 2004 s’oppose à ce que les plus-values immobilières réalisées en 2018 par les non-résidents qui relèvent du champ d’application territorial et personnel de ce règlement soient assujetties à la contribution sociale généralisée et au prélèvement social affectés au fonds de solidarité vieillesse, à la contribution sociale généralisée et à la contribution au remboursement de la dette sociale affectées à la caisse d’amortissement de la dette sociale ainsi qu’au prélèvement social et à la contribution additionnelle à ce prélèvement affectés à la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie ».
Cette décision a été rendue dans le cadre d’un recours pour excès de pouvoir contre des commentaires de la législation fiscale publiés le 1er août 2018 au BOFIP.
CE du 16/04/19 n°423586

https://www.legifrance.gouv.fr/affichJuriAdmin.do?oldAction=rechJuriAdmin&idTexte=CETATEXT000038384738&fastReqId=99507329&fastPos=7

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La Banque du Canada laisse inchangé le taux cible du financement à un jour à 1¾ %

La Banque du Canada a annoncé aujourd’hui qu’elle maintenait le taux cible du financement à un jour à 1¾ %. Le taux officiel d’escompte demeure donc à 2 %, et le taux de rémunération des dépôts, à 1½ %.
La croissance économique mondiale a ralenti davantage que la Banque le prévoyait dans le Rapport sur la politique monétaire (RPM) de janvier. L’incertitude persistante liée aux conflits commerciaux a miné la confiance des entreprises et l’activité, ce qui a contribué à un ralentissement simultané dans un grand nombre de pays.
Cependant, la Banque s’attend à ce que la croissance se redresse, à partir du deuxième trimestre de cette année. L’activité sur le marché du logement devrait se stabiliser, étant donné les gains démographiques continus, la diminution des effets des changements passés aux politiques de logement et l’amélioration des conditions financières mondiales. La consommation sera soutenue par la forte croissance du revenu d’emploi.

https://www.banqueducanada.ca/2019/04/fad-communique-2019-04-24

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OCDE : 1 emploi sur 3 devrait changer radicalement

Il ressort d’un nouveau rapport de l’OCDE que les gouvernements doivent repenser leur approche du travail et des emplois afin de réduire les tensions sociales et économiques. Si l’on n’agit pas rapidement, de nombreux individus, notamment les moins qualifiés, resteront en retrait d’un monde du travail en pleine mutation.
La zone OCDE a retrouvé les emplois qu’elle avait perdu pendant la crise et le taux d’emploi y est aujourd’hui supérieur de deux points de pourcentage à ce qu’il était avant la crise. La hausse du taux d’emploi dans la plupart des pays de l’OCDE s’explique par une augmentation importante du taux d’emploi des femmes et du pourcentage de travailleurs âgés qui continuent d’occuper leur emploi.
La transformation numérique, la mondialisation et l’évolution démographique sont déjà en train de redéfinir le monde du travail. À terme, 14 % des emplois existants pourraient disparaître au cours des 15 à 20 prochaines années en raison de l’automatisation, et encore 32 % devraient changer radicalement.
Le programme recommande aux pays de se concentrer sur quatre axes : la protection du travail, la protection sociale, l’apprentissage et le dialogue social.

https://www.oecd.org/fr/emploi/il-faut-agir-rapidement-pour-que-les-individus-puissent-faire-face-a-l-evolution-du-monde-du-travail.htm

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Futur crise du logement au Québec ?

Cet article indique que le taux d’inoccupation des logements se situait à 1,9 % dans la région de Montréal, et à 1,2 % à Gatineau. Les chiffres de Statistique Canada démontrent qu’en dix ans, le revenu net des locataires a augmenté de 28 %, et le loyer d’un 3½ à Montréal de 18 %. Avec un taux d’effort moindre à consacrer au loyer, de plus en plus de locataires choisissent de vivre seuls (51 % au Québec, contre 41 % dans le reste du Canada). Des propriétaires ont décidé de ne plus louer. À Montréal, près de 5000 duplex ont disparu du rôle foncier depuis 10 ans, soit convertis ou reconstruits en copropriétés, soit devenus unifamiliaux.

https://www.ledevoir.com/opinion/idees/552767/qui-cree-une-crise-du-logement

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Évaluer la qualité d’une adresse: un nouvel outil indispensable ?

Sortie en février dernier, l’application et le service web, « Mon Adresse Idéale » (https://www.monadresseideale.fr/), permettent aux agents immobiliers d’évaluer à 360° très simplement et très rapidement la qualité d’une adresse selon plusieurs dizaines d’indicateurs et thématiques (transport, éducation, commerce, etc.).
Les évaluations en version « premium » permettent d’obtenir une vision détaillée pour chaque thématique, de pondérer et de filtrer les critères d’évaluations et de générer un rapport PDF complet de plusieurs dizaines de pages.

https://www.journaldelagence.com/1163541-mon-adresse-ideale-lappli-qui-permet-aux-agents-immobiliers-devaluer-a-360-la-qualite-dune-adresse

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Canada : Les milléniaux plus riches que les X!

Au Canada, les milléniaux sont aujourd’hui plus riches que ne l’étaient les membres de la génération X au même âge, selon une étude de Statistique Canada avec un revenu médian de 66500$ pour un ménage contre 51000$ il y a 20 ans pour la génération X. Toutefois, il est à noter qu’ils sont également nettement plus endettés qu’eux, en grande partie parce qu’ils ont contracté de lourdes dettes hypothécaires.
Le ratio de la dette au revenu après impôt des milléniaux se chiffre à 216%, ce qui dépasse de loin le ratio de 125% affiché par les membres de la génération X au même âge ainsi que celui de 80% des jeunes baby-boomers, toujours au même âge.
Les inégalités se renforcent. Par exemple, chez les milléniaux, l’écart de la valeur nette va de 9 500 $ pour les 25% moins riches à 253 900 $ pour les 25% les plus riches. En guise de comparaison, le même écart allait de 6 200 $ à 126 900 $ chez les X au même âge.

https://www.lesaffaires.com/blogues/l-economie-en-version-corsee/les-milleniaux-plus-riches-que-les-x/609687

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Les annonces attendues de Macron

L’AFP a pu se procurer une copie du texte, qui présente les grandes lignes du projet présidentiel. On peut y retrouver :
– Baisse des impôts pour les classes moyennes ;
– Évaluation objective de l’abrogation de l’ISF ;
– Ré-indexation des retraites de moins de 2.000 euros sur l’inflation à partir du 1er janvier 2020 ;
– Retour de la prime de 1000 euros défiscalisée de fin d’année qui reviendra tous les ans, pour les employeurs qui le décident.

https://bfmbusiness.bfmtv.com/france/fiscalite-ena-retraites-les-annonces-attendues-de-macron-1674405.html

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Grand débat : les agents immobiliers veulent reprendre la main sur le permis de louer

Et si les agents immobiliers devenaient les garants de la salubrité des logements ? C’est en tout cas la proposition de la FNAIM du Grand Paris dans le cadre du grand débat. Les professionnels de l’immobilier veulent jouer les intermédiaires de confiance sur les territoires couverts par le permis de louer.

https://bfmbusiness.bfmtv.com/france/grand-debat-les-agents-immobiliers-veulent-reprendre-la-main-sur-le-permis-de-louer-1673511.html

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Jean Matouk: « baisser les impôts : un objectif aucunement justifié ! »

Si on se réfère aux statistiques de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), il apparaît clairement qu’en matière d’impôts au sens propre du terme, la France est dans la moyenne des autres pays européens.
Ce solde pour arriver au total des prélèvements – qui représentent 46% du PIB, le taux le plus élevé d’Europe – , ce sont en fait les cotisations sociales, qui financent nos assurances maladie, retraite et chômage. Certes, des économies sont possibles dans ces domaines, mais elles sont faibles, peu populaires et, surtout, la dette déjà accumulée par la « Sécu » a atteint la somme énorme de 260 milliards d’euros.

https://www.lemonde.fr/idees/article/2019/04/15/jean-matouk-baisser-les-impots-un-objectif-aucunement-justifie_5450253_3232.html

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La banque de demain : un nouveau modèle à imaginer dès aujourd’hui

Le digital ne marque que le début d’une nouvelle ère, celle des possibilités adjacentes, qui permet à toute entreprise, devenue par nature technologique, de se développer sur des marchés connexes. Les banques ont devant elles l’opportunité de développer de nouveaux services, non bancaires, et ainsi de continuer à accroître leurs revenus dans un environnement devenu de plus en plus concurrentiel. Cette nouvelle banque sera devenue une entreprise universelle : elle vendra toujours des produits bancaires (ou plutôt, ne les fournira-t-elle pas gracieusement ?), mais ceux-ci ne constitueront sans doute plus que l’ossature des nombreux services complémentaires qu’elle commercialisera. Les services financiers « de base » vont devenir de plus en plus transparents pour les clients, sans aucune friction, en temps réel.
La banque a donc plusieurs défis devant elle, mais elle a aussi l’opportunité de devenir encore plus essentielle qu’elle ne l’est aujourd’hui pour chacun d’entre nous. Reste à savoir si les banques seront en mesure de les relever à temps, sans se laisser surprendre par de nouveaux entrants comme les GAFA qui pourraient bien faire des annonces fracassantes pour le secteur très prochainement

https://www.finyear.com/La-banque-de-demain-un-nouveau-modele-a-imaginer-des-aujourd-hui_a40896.html

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Pourquoi certains employés de banque vont devenir infirmiers ou aides-soignants

La Belgique a ceci de particulier qu’elle a encore un taux de chômage trop élevé et en même temps une pénurie de métiers qualifiés. Bref, plus que jamais, la mobilité est nécessaire. C’est ce qu’ont compris le secteur financier et le secteur de la santé. Les deux secteurs ont négocié pendant des mois et maintenant, c’est officiel : les banquiers pourront devenir des infirmiers. D’un côté, nous avons un secteur de la santé qui pleure pour trouver des profils qualifiés. De l’autre côté, nous avons un secteur financier qui n’arrête pas de dégraisser, on l’a encore vu récemment avec BNP Paribas Fortis.
Que dit ce contrat ? Il organise plusieurs solutions de sortie pour les ex employés de banques comme par exemple, le prêt de ces employés au secteur de la santé avec la possibilité de tester un nouveau métier dans le cadre d’une mission de trois mois.

https://trends.levif.be/economie/banque-et-finance/pourquoi-certains-employes-de-banque-vont-devenir-infirmiers-ou-aides-soignants/article-opinion-1120649.html?cookie_check=1555073262

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Le système fiscal canadien est trop complexe

Lors de son adoption en 1917, le texte de la Loi de l’impôt sur le revenu comptait 4 000 mots, aujourd’hui il en comprend plus de 1,1 million, révèle une récente publication de l’Institut économie de Montréal (IEDM).
Depuis 2005 seulement, sa longueur a augmenté de 36 % ! Entre 1991 et 2005, le nombre de crédits d’impôt personnels, qui sont autant d’exceptions à prendre en compte lors de son rapport d’impôt, a augmenté de 26 %.

https://www.conseiller.ca/nouvelles/fiscalite/le-systeme-fiscal-canadien-est-trop-complexe/

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