Au Canada, l’économie numérique dépasse l’exploitation minière, l’activité forestière, le pétrole ou le gaz

L’économie numérique du Canada croît beaucoup plus rapidement que le reste de l’économie et est déjà plus importante que les industries de base telles l’extraction de pétrole et de gaz (4,8%), la vente au détail (5%) ou le secteur de l’agriculture, de la foresterie, de la pêche et de la chasse (1,8%). Dans l’ensemble, Statistique Canada calcule qu’en 2017, l’économie numérique du Canada valait 109,7 milliards de dollars, soit environ 5,5% de l’économie totale cette année-là. Entre 2010 et 2017, l’économie numérique du Canada a crû de 40,2%. Cela se compare à 28% dans le reste de l’économie.

https://www.cbc.ca/news/business/digital-economy-jobs-1.5121594

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Le gouverneur de la Banque du Canada souhaite un marché hypothécaire plus flexible

Dans un discours prononcé lundi à Winnipeg, M. Poloz a affirmé que les changements pourraient comprendre la mise en valeur de prêts avec des termes de plus de cinq ans, la création d’un marché privé pour les titres adossés à des créances hypothécaires et le lancement d’un prêt hypothécaire avec participation pour les acheteurs d’une première maison.

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1168270/banque-canada-stephen-poloz-marche-hypothecaire-options-innovations

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Canada: le marché du logement n’est plus aussi vulnérable

Selon l’agence fédérale, la vulnérabilité du marché dans son ensemble est maintenant « modérée », après avoir été « élevée » pendant 10 trimestres consécutifs, bien que certaines villes restent exposées à un risque élevé.
Même si les prix des maisons à Vancouver, Victoria, Toronto et Hamilton se sont rapprochés des niveaux dictés par les facteurs fondamentaux du marché, ces villes continuent d’être exposées à un degré de vulnérabilité élevé, a précisé la SCHL.
Les plus grandes villes des Prairies restent modérément vulnérables, alors qu’Ottawa, Montréal, Québec, Moncton, Halifax et St. John’s sont considérées comme peu vulnérables.

https://www.lapresse.ca/affaires/economie/201905/02/01-5224378-le-marche-du-logement-nest-plus-aussi-vulnerable.php

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Revenu Québec juge la fiscalité québécoise trop complexe pour la déclaration préremplie

La fiscalité québécoise est trop complexe pour offrir gratuitement une déclaration d’impôt préremplie à l’ensemble des contribuables, estime le président-directeur général de Revenu Québec, Carl Gauthier.
«Ce serait difficile compte tenu du régime fiscal au Québec qui est plus complexe que dans la plupart des pays», a dit le PDG dans une entrevue, mercredi, en marge des travaux à l’Assemblée nationale.
Devant ces demandes des divers partis politiques, M. Gauthier estime qu’il faut faire davantage de «pédagogie». Il est important pour lui d’expliquer que les logiciels commerciaux donnent un résultat «même meilleur» que celui qu’obtiendrait Revenu Québec avec un service gratuit équivalent.

https://www.journaldequebec.com/2019/05/01/revenu-quebec-juge-la-fiscalite-quebecoise-trop-complexe-pour-la-declaration-preremplie

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Québec : vers un ménage des droits et obligations des époux et conjoints

Faut-il mieux protéger juridiquement les personnes en union de fait ? Le partage obligé du patrimoine familial pour les couples mariés est-il toujours pertinent ? Telles sont quelques-unes des questions qui seront abordées au cours d’une série de consultations publiques qui commencent aujourd’hui.
Ceci provient de la nécessité de réarticuler le droit familial autour de l’enfant. D’une part, parce que c’est l’enfant qui est le point de départ de la famille et celui dont les droits doivent être priorisés. D’autre part, parce que, de nos jours, ce n’est pas le mariage ou le fait d’être conjoint de fait qui crée une interdépendance entre les conjoints, mais bien la naissance d’un enfant. D’où l’idée lancée dans votre rapport de créer une « prestation compensatoire parentale » qu’un parent pourrait devoir payer à l’autre pour le compenser du désavantage que le rôle parental assumé durant la vie commune lui aura occasionné.

https://www.lapresse.ca/actualites/justice-et-faits-divers/201904/28/01-5223879-vers-un-menage-des-droits-et-obligations-des-epoux-et-conjoints.php

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Ottawa cumule un surplus de 3,1 milliards en 11 mois

Le gouvernement fédéral a dégagé un excédent de 3,1 milliards au cours des 11 premiers mois de l’exercice en cours, révèle l’évaluation préliminaire mensuelle de ses finances. Dans l’ensemble, les revenus ont augmenté de 23,5 milliards, ou 8,5 %, par rapport à la même période de 11 mois de l’exercice précédent, a indiqué le rapport. Cela s’expliquait principalement par la hausse des revenus provenant des impôts et tirés des cotisations d’assurance-emploi.
En février seulement, l’excédent a atteint 4,3 milliards, selon le rapport.

https://www.lapresse.ca/affaires/economie/201904/26/01-5223667-ottawa-cumule-un-surplus-de-31-milliards-en-11-mois.php

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La Banque du Canada laisse inchangé le taux cible du financement à un jour à 1¾ %

La Banque du Canada a annoncé aujourd’hui qu’elle maintenait le taux cible du financement à un jour à 1¾ %. Le taux officiel d’escompte demeure donc à 2 %, et le taux de rémunération des dépôts, à 1½ %.
La croissance économique mondiale a ralenti davantage que la Banque le prévoyait dans le Rapport sur la politique monétaire (RPM) de janvier. L’incertitude persistante liée aux conflits commerciaux a miné la confiance des entreprises et l’activité, ce qui a contribué à un ralentissement simultané dans un grand nombre de pays.
Cependant, la Banque s’attend à ce que la croissance se redresse, à partir du deuxième trimestre de cette année. L’activité sur le marché du logement devrait se stabiliser, étant donné les gains démographiques continus, la diminution des effets des changements passés aux politiques de logement et l’amélioration des conditions financières mondiales. La consommation sera soutenue par la forte croissance du revenu d’emploi.

https://www.banqueducanada.ca/2019/04/fad-communique-2019-04-24

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Futur crise du logement au Québec ?

Cet article indique que le taux d’inoccupation des logements se situait à 1,9 % dans la région de Montréal, et à 1,2 % à Gatineau. Les chiffres de Statistique Canada démontrent qu’en dix ans, le revenu net des locataires a augmenté de 28 %, et le loyer d’un 3½ à Montréal de 18 %. Avec un taux d’effort moindre à consacrer au loyer, de plus en plus de locataires choisissent de vivre seuls (51 % au Québec, contre 41 % dans le reste du Canada). Des propriétaires ont décidé de ne plus louer. À Montréal, près de 5000 duplex ont disparu du rôle foncier depuis 10 ans, soit convertis ou reconstruits en copropriétés, soit devenus unifamiliaux.

https://www.ledevoir.com/opinion/idees/552767/qui-cree-une-crise-du-logement

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Canada : Les milléniaux plus riches que les X!

Au Canada, les milléniaux sont aujourd’hui plus riches que ne l’étaient les membres de la génération X au même âge, selon une étude de Statistique Canada avec un revenu médian de 66500$ pour un ménage contre 51000$ il y a 20 ans pour la génération X. Toutefois, il est à noter qu’ils sont également nettement plus endettés qu’eux, en grande partie parce qu’ils ont contracté de lourdes dettes hypothécaires.
Le ratio de la dette au revenu après impôt des milléniaux se chiffre à 216%, ce qui dépasse de loin le ratio de 125% affiché par les membres de la génération X au même âge ainsi que celui de 80% des jeunes baby-boomers, toujours au même âge.
Les inégalités se renforcent. Par exemple, chez les milléniaux, l’écart de la valeur nette va de 9 500 $ pour les 25% moins riches à 253 900 $ pour les 25% les plus riches. En guise de comparaison, le même écart allait de 6 200 $ à 126 900 $ chez les X au même âge.

https://www.lesaffaires.com/blogues/l-economie-en-version-corsee/les-milleniaux-plus-riches-que-les-x/609687

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Le Québec, paradis des PME!

Au Québec, il y a près de 240 000 entreprises comptant moins de 99 employés, 4300 entreprises qui embauchent entre 100 et 499 personnes et seulement environ 600 comptent 500 employés et plus. Les petites et moyennes entreprises d’ici embauchent plus de 2,3 millions de travailleurs, représentant 93 % des parts d’emplois !

https://www.lesaffaires.com/blogues/nicolas-duvernois/le-quebec-paradis-des-pme-/609573

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L’immobilier tient le coup au Québec

La Fédération des chambres immobilières du Québec (FCIQ) indique que 23 667 ventes ont été réalisées au premier trimestre de 2019, soit une hausse de 8 % par rapport au trimestre correspondant de 2018. « Il s’agit d’un 19e trimestre d’affilée de hausse », indique la fédération. Pour sa part, le prix médian pour l’ensemble du Québec a augmenté de 3 % à 255 000 $ pour les unifamiliales et de 1 % à 231 000 $ pour les copropriétés. Il est demeuré inchangé à 385 000 $ dans le segment des plex.

https://www.ledevoir.com/economie/552248/residentiel-l-immobilier-tient-le-coup-au-quebec

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L’avantage des fonds communs de placement constitués en société (FCPS)

Lorsqu’on fait des calculs d’impôt total (société de gestion plus impôt personnel de l’actionnaire), le taux combiné est de 63,18 % en 2019 sur les dividendes américains et, tenez-vous bien, 67,44 % pour des dividendes, par exemple, du Royaume-Uni ! N’aimeriez-vous pas que ces revenus toxiques disparaissent ?
Un des avantages de ces fonds est que la SICAV (vous vous souvenez, cette grande société qui gèrent des dizaines, voire centaines de fonds) peut utiliser ses dépenses d’opérations et autres pour annuler complètement ses revenus d’intérêt et ses revenus étrangers. Cet objectif est généralement atteint. Si jamais ce n’est pas le cas, la société paiera de l’impôt (élevé) sur ces revenus mais ne les distribuera pas aux investisseurs. En ne distribuant pas ces revenus toxiques, le montant après impôts fera croître la valeur du fonds. L’investisseur aura donc un gain en capital plus élevé à la vente. Vous voyez qu’on a ainsi « transformé » un revenu toxique en gain en capital, moins imposé (abattement actuel de 50%). L’objectif ultime d’un FCPS est de distribuer le moins possible de revenus à ses investisseurs. Un FCPS, quant à lui, peut voir un gain en capital annulé par une perte en capital d’un autre FCPS, évitant ainsi une distribution…

https://www.lesaffaires.com/blogues/dany-provost/un-secret-qui-peut-valoir-des-centaines-de-milliers-de-dollars/609509

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Le système fiscal canadien est trop complexe

Lors de son adoption en 1917, le texte de la Loi de l’impôt sur le revenu comptait 4 000 mots, aujourd’hui il en comprend plus de 1,1 million, révèle une récente publication de l’Institut économie de Montréal (IEDM).
Depuis 2005 seulement, sa longueur a augmenté de 36 % ! Entre 1991 et 2005, le nombre de crédits d’impôt personnels, qui sont autant d’exceptions à prendre en compte lors de son rapport d’impôt, a augmenté de 26 %.

https://www.conseiller.ca/nouvelles/fiscalite/le-systeme-fiscal-canadien-est-trop-complexe/

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Les retours d’impôt, pas forcément une bonne nouvelle

Plus de la moitié (53 %) des contribuables canadiens ont reçu un remboursement d’impôt ou s’attendent à en recevoir un pour l’année d’imposition 2018, ce qui n’est pas forcément une bonne nouvelle pour eux, estime la CIBC. La solution? « Mieux vaut s’assurer que son portefeuille est le plus efficace possible au point de vue fiscal, pour conserver une plus grande part de son argent tout au long de l’année».
L’une des stratégies suggérées consiste à réduire les retenues d’impôt sur chaque chèque de paie au lieu d’attendre la production de votre déclaration au printemps suivant pour obtenir un remboursement. Comment? En remplissant le formulaire T1213 de l’Agence du Revenu du Canada (« Demande de réduire des retenues d’impôt à la source »).

https://www.conseiller.ca/nouvelles/industrie/les-retours-dimpot-pas-forcement-une-bonne-nouvelle/

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Au Canada, l’écart fiscal fait débat

Le directeur parlementaire du budget, Yves Giroux, a déclaré que l’Agence du revenu du Canada (ARC) n’avait fourni que des données fiscales générales pour une étude que son bureau souhaite faire depuis des années sur « l’écart fiscal » du Canada, soit la différence entre le montant de recettes fiscales qu’il aurait dû percevoir en un an par rapport à ce qui a été réellement obtenu.
« Il est très difficile de résoudre un problème que vous ne pouvez pas quantifier », a ajouté Yves Giroux.

https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/evitement-fiscal-le-directeur-parlementaire-du-budget-reclame-plus-de-donnees-au-gouvernement/

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Les locataires montréalais, des gens seuls et fidèles à leur quartier

Contrairement aux acheteurs de maisons qui quittent l’île de Montréal en grand nombre chaque année pour pouvoir s’offrir une maison moins chère en banlieue, les locataires montréalais sont sédentaires. Les locataires à faible revenu encore plus que les autres (92% alors qu’ils gagnent moins de 30000$).
Dans la région métropolitaine de recensement (RMR) de Montréal, 48 % des ménages locataires sont des personnes vivant seules. Dans les 14 grands secteurs de la région, cette proportion varie de 46 %, dans la couronne nord, à 52 %, à Saint-Jean-sur-Richelieu. À l’intérieur de la ville de Montréal, le pourcentage tourne autour de 50 % dans la plupart des arrondissements.
Quelque 60 % des ménages locataires du Grand Montréal ont des revenus inférieurs à 50 000 $ et 35,3 % ont des revenus inférieurs à 30 000 $.
Outremont, Westmount, Mont-Royal et L’Île-des-Sœurs font bande à part dans la mesure où les ménages gagnant plus de 100 000 $ représentent entre 20 et 25 % de la cohorte des locataires.
Griffintown, qui était encore une zone industrielle inhospitalière il y a 15 ans à peine, se démarque de ceux-ci avec une proportion importante de personnes seules, jeunes professionnels, ayant des revenus supérieurs à 100 000 $.

https://www.lapresse.ca/affaires/201904/03/01-5220793-les-locataires-montrealais-des-gens-seuls-et-fideles-a-leur-quartier.php

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De plus en plus d’aînés endettés, selon Statistique Canada

La proportion des familles âgées qui avaient une dette hypothécaire « a presque doublé, passant de 8 % à 14 %, et la part de celles qui avaient une dette de consommation est passée de 24 % à 37 % ».
Le montant médian de cette dette était de 9000 $ en 1999, alors qu’il se chiffre maintenant à 25 000 $ (valeur exprimée en dollars constants de 2016). Mais dans le même temps, la valeur médiane des actifs détenus par ces familles endettées s’est accrue, poursuit Statistique Canada, passant de 327 000 $ à 607 400 $.
Dans l’étude de Statistique Canada, il y a une statistique qui frappe tout particulièrement M. Fortin : en 2016, 14 % des familles de personnes âgées ont une dette de consommation supérieure à leur revenu familial après impôts, en hausse par rapport à seulement 4 % en 1999.

https://www.lapresse.ca/affaires/economie/201904/03/01-5220789-de-plus-en-plus-daines-endettes-selon-statistique-canada.php

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Québec : bricoler le REEE des enfants pour en faire… son 2e REER?

Il faut savoir qu’un REEE n’est pas éternel. Il s’agit en quelque sorte d’une fiducie qui se dissout au bout de 35 ans (40 ans dans le cas d’un REEE familial). Personne n’en a encore fait l’expérience, le REEE tel qu’on le connaît existe depuis moins longtemps que ça.
À la dissolution du REEE, le souscripteur (généralement le parent) devra récupérer ses cotisations. Si des rendements n’ont pas été versés aux enfants par l’intermédiaire de paiements d’aide aux études (les fameux PAE), ils reviendront au souscripteur sous forme de paiements de revenus accumulés (ou PRA). Les PRA sont imposés au taux marginal entre les mains du souscripteur, auquel s’ajoute un prélèvement de 20%. Ce qui rend intéressant le problème posé par notre lecteur est que le souscripteur a la possibilité de transférer les rendements accumulés le fruit du REEE vers son REER. Mais cela n’est il pas très compliqué pour des gains minimes… ?

https://www.lesaffaires.com/blogues/daniel-germain/bricoler-son-reee-en-vue-den-faire-un-reer/609260

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Le conflit sino-américain pourrait profiter au Canada et au Mexique

Se basant sur une hypothèse d’une hausse de 25 points de pourcentage des taxes douanières sur tous les biens échangés entre les deux premières puissances mondiales, le Fonds monétaire international note que les grands perdants sont les deux belligérants, dans un rapport publié mercredi en amont des réunions de printemps qui se dérouleront la semaine prochaine à Washington. Le PIB américain pourrait ainsi être amputé de 0,3 à 0,6 %, celui de la Chine de 0,5 à 1,5 %, chiffrent-ils également. Les effets négatifs s’amplifient, eux, au contraire, à long terme, aux États-Unis à mesure que les tarifs douaniers sont plus élevés.
D’une manière générale, notent les économistes du FMI, les effets sur les exportations des pays tiers sont positifs, le Mexique et le Canada étant les principaux bénéficiaires du conflit entre Washington et Pékin, « en raison de leur relation commerciale solide et leur proximité géographique » avec les États-Unis.

https://www.lesaffaires.com/monde/amerique/le-conflit-sino-americain-pourrait-profiter-au-canada-et-au-mexique/609319

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Les Québécois prennent leur retraite plus tardivement qu’il y a 10 ans

Ainsi, 73 % des travailleurs québécois qui ont pris leur retraite en 2018 l’ont fait à 60 ans ou plus. Cette proportion était de 57 % en 2009. 39 % avaient 65 ans ou plus au Québec. Ce taux se situait à 47 % en Ontario et à 46 % dans les provinces de l’Ouest regroupées. Cependant, l’écart entre le Québec et les autres régions s’est amoindri par rapport à la période 2009-2013, où il se situait à environ 12 points de pourcentage.

https://www.lesaffaires.com/mes-finances/retraite/les-quebecois-prennent-leur-retraite-plus-tardivement-qu-il-y-a-10-ans/609316

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